Rêve de Noël ou réalité?

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il y a 7 ans

Ceci est mon premier récit de Noël, j'espère qu'il vous plaira


Nous sommes la veille de Noël et pour une fois, je me suis décidée à passer un Noël blanc. Pour cela, je suis partie à la montagne. Le chalet est magnifique avec ses poutres apparentes, les chaises sculptées, la décoration du pays et ses tons rouge et or. Il y a un petit sapin sympa, joliment décoré avec un ange de Noël à son sommet. Je suis allongée dans le canapé ayant une vue splendide sur les montagnes et la neige qui tombe doucement. Malgré les festivités du village, mon coeur n'est pas vraiment à la joie. Lui et mon esprit aimeraient être ailleurs, auprès de vous.

Seulement, cela n'est pas possible. Je me perds dans la contemplation de la neige, en sirotant un bon chocolat chaud. A la radio, il passe des chants de noël, tantôt rock, tantôt, classique et tantôt jazzy. Mon esprit divague doucement vers vous. Sentant le sommeil m'envahir, je pose ma tasse de chocolat, éteint la grande lumière, allume la veilleuse et m'installe confortablement, sous une polaire. Après tout, je n'attends personne, à part peut-être, le Père Noël.

Je suis réveillée par une lumière trop vive, mais je n'ai pas envie d'ouvrir les yeux. Je veux juste retourner dans mon rêve. Je me retourne et m'enfonce un peu plus dans le canapé. Tout d'un coup, je sens la couverture polaire s'envoler et une main se poser sur mon épaule.

Une main?! Attendez... attendez une minute!! Il ne peut pas y avoir une main sur mon épaule! Et encore moins, cette main là! Je sens mon coeur s'arrêter pour repartir à toute vitesse. Je me retourne d'un mouvement vif et je me retrouve totalement abasourdie, devant votre visage et votre regard froid. Je me demande, si je ne suis pas en train de rêver. J'hésite presque à me pincer pour être sûre. Je vous regarde sûrement avec des soucoupes à la place des yeux. J'ai l'impression, qu'il fait soudainement plus froid dans la pièce. Votre regard se fait polaire.

_M...Maître?!

_Oui. Maître. Qui veux-tu que ce soit? Le Père Noël?

_Non, non...

_DEBOUT!!

J'avais du mal à y croire. Je me suis levée et mise en face de vous en baissant les yeux. Vos mains ouvrent la ceinture de mon peignoir, vous passez dans mon dos, me retirez mon peignoir et le jetez sur le canapé. Je suis entièrement nue sous votre regard, les cheveux en bataille et une chair de poule sur les bras. Vous m'ordonnez la position 6 et j'obéis à l'instant. Je ne tiens pas à vous fâcher plus que vous ne semblez l'être. Vous commencez à me gronder tout en tournant autour de moi. Quand vous passez dans mon dos, je me pince pour voir si je ne rêve pas. Mais non, je viens de me faire mal et vous êtes toujours là.

_ Tu trouves cela normal que, quand je rends visite à ma soumise, je la retrouve à 18h, une veille de Noël, tranquillement endormie sur le canapé? Et quand j'essaye de la réveiller, en allumant la lumière, elle me tourne le dos?

_ Non, Maître. Mais, je ne vous attendez pas. C'est une visite impromptue et je....

_ Tu préfères que je repartes?

Vous avez posé la question avec une colère sous-jacente dans la voix. Mon s a n g se glace dans mes veines. Non, je ne veux pas que vous partiez , ce n'était pas un reproche. Les larmes perlent à mes yeux.

_ Non, je vous en prie Maître. Je ne veux pas que vous partiez. Ce n'était pas un reproche. Je suis plus heureuse que vous ne pouvez le croire de votre présence.

Je baisse les yeux et les larmes coulent. Je vous sens vous mettre à ma hauteur et votre main me f o r c e à vous regarder.

_ Je ne vais pas partir. Mais, tu es d'accord avec moi, que ton comportement mérite une punition?

_Oui, Maître.

_ Alors relève-toi

Je me relève et vous déposez un baiser sur mes lèvres, avant de vous installer sur le canapé. Vous m'indiquez vos genoux et je prends place. J'ai les mains moites et très chauds. Une de vos mains se posent dans le creux de mon dos et l'autre sur mes fesses. Votre main se lève et heurte mes fesses avec f o r c e. La fessée commence très durement. Vous êtes fâché et vous me le faîtes comprendre. Mes fesses chauffent vite. J'ai l'impression que vous essayez de les enflammer. A chaque coup, vous ravivez le brasier. Je gigote sur vos genoux, essayant d'échapper à vos claques. A un moment, je relève les jambes et les croisent. Vous m'ordonnez d'écarter les jambes, en faisant tomber une sévère claque sur ma cuisse.

Votre main redevient caressante au moment où, mes larmes allaient couler. Vous me caressez doucement le bas du dos, en m'expliquant qu'il reste trois claques, les trois dernières. Vous me demandez de croiser mes mains dans le dos. Votre main viens s'emmêler dans les deux miennes. Je m'accroche à elle, je sais que ce sont les plus fortes. Et c'est le cas. Les larmes coulent doucement sur mes joues. Vous relâchez mes mains et me faites faire demi-tour sur vos genoux pour un câlin consolateur.

Vous m'embrassez tendrement et au fil du temps, notre baiser se fait plus fougueux, plus passionné. Vos mains se baladent sur mon corps. Vous arrêtez vos caresses et me faîtes relever de vos genoux. Vous attrapez la ceinture du peignoir, me prenez par la main et m'emmenez sous une des poutres. Vous faites passer la ceinture de chaque côté de la poutre. Puis, vous m'attachez chaque poignet à un côté de la ceinture. Vous me demandez d'écarter les jambes. Vous partez dans la chambre et revenez avec un foulard. Vous le posez sur mes yeux et je suis aveugle, à votre merci. Je vous sens passer dans mon dos, et vos lèvres déposer des dizaines de baisers doux sur mon cou. Ma tête bascule instinctivement vers l'arrière, vous offrant mon cou. Vos mains voyagent sur mon corps et je me cambre et m'offre à vous un peu plus. Mon désir commence à s'étendre à tout mon corps. Vous mettez en face de moi et m'embrassez.

_ Cela fait un moment que tu es ma soumise n'est-ce pas?

_ Oui, Maître.

_ Et te souviens-tu de quoi nous avons parlé la dernière fois?

_ Oui, Maître.

_Tu es toujours d'accord ?

_ Ou...Oui Maître!

_ Parfait alors. Tu as accepté d'être ma soumise, il y a des mois de cela. Acceptes-tu de porter mon collier?

_ Oui, Maître. Pour toujours.

Je sens vos main poser et fermer le collier autour de mon cou.

_ Je t'aime, ma puce. Et je te souhaite un Joyeux Noël.

_ Moi aussi je vous aime et vous souhaite également un Joyeux Noël.

Vous retirez mon foulard, libérez mes poignets et m'embrassez. Je me jette à votre cou, folle de bonheur. Je caresse doucement le collier trônant autour de mon cou. Vous débouchez une bouteille de champagne et nous en servez deux verres, avec quelques toasts.

Puis, vous me prenez par la main et m'entraînez vers le canapé. Au passage, je me pince pour être certaine que je ne rêve pas. Mais non, ce n'est pas le cas. Vous m'allongez sur le canapé et me couvrez de baisers que je vous rends. Je laisse le désir prendre le dessus et nous fusionnons dans un dédale de douceur et de câlins. Vous me faîtes vôtre une nouvelle fois. Je m'endors comblée et heureuse dans vos bras.

Je me sens partir et j'ouvre les yeux, juste avant de tomber sur la luxueuse moquette du chalet. Je me retrouve allongée sur le sol, à côté du canapé avec pour seule lumière, la veilleuse. Je trouve cela étrange, je ne me souviens pas d'avoir éteint la lumière. Je réagis tout d'un coup, que je porte mon peignoir. Je me relève et trouve le canapé vide. Ce n'est pas possible! Je fais le tour du chalet quasiment en courant. Il n'y a rien, comme si tout cela n'avait été qu'un rêve. Je me dirige vers la salle de bain, pour me rafraîchir. Je croise mon regard dans le miroir et je bloque sur mon cou. Le collier... le collier se trouve autour de mon cou. Je le caresse doucement. Non, ce n'est pas possible. Il est trois heures du matin, donc nous sommes le jour de Noël.

Alors, tout cela était-il un rêve ou réalité?


Un joyeux noël à tous et à toutes!

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